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Guess, quatre marseillais à la conquête du monde.

L’histoire de Guess est avant tout une histoire de famille. Une success-story française comme on en connait peu. A L’origine, quatre frères qui grandissent à Marseille et décident de fonder ensemble une marque de vêtement. Visionnaires, Paul, Armand, Maurice et Georges Marciano s’embarquent pour Los Angeles au début des années 80. Ils baptisent leur marque d’un verbe anglais signifiant « deviner » : Guess.

Les Marciano perçoivent avant les autres que le jeans est susceptible de devenir un produit phare du prêt-à-porter et se font une réputation en travaillant les délavages et les coupes des modèles qu’ils vendent sous leur marque. Le public réagit avec enthousiasme. Ce sera le premier pas des frères Marciano dans le monde de la mode. La marque atteint très vite la renommé grâce à la qualité de ses produit, l’innovation marketing publicitaire et un style avant-gardiste. Si les premières collections de prêt-à-porter s’adressent aux femmes, Guess diversifie vite son offre, en s’adressant aux hommes et aux enfants, et en créant des lignes de chaussures et accessoires.

Vingt ans plus tard, qu’en est-il de Guess ? La marque est toujours dirigée par la fratrie et prospère dans plus de 60 pays où elle est distribuée grâce à un réseau comptant quelques 700 magasins. Guess possède donc une réputation internationale et à été représenté dans ses campagnes de publicité par les plus grand mannequins : Naomi Campbell, Claudia Schiffer, ou encore Laetitia Casta en furent les égéries.

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Adidas et Puma, les frères ennemis.

Une petite ville allemande. Deux frères. Une infinie rivalité.

Tout commence en 1924 à Herzogenaurach lorsqu’Adolf et Rudolf Dassler créent la société Gebrüder Dassler, afin de concevoir des chaussures légères destinées aux activités sportives. En bons fils de savetier, les deux frères qui connaissent les fondamentaux du métier, ne vont pas cesser de le moderniser. Adolf s’occupe principalement de la conception des chaussures, tandis que Rudolf se consacre à la promotion de la marque. Ainsi, lorsqu’Adolf met au point les premières chaussures à crampons destinées aux footballers, c’est Rudolf qui convainc lesdits footballers de club bavarois de les adopter. L’entreprise Dassler devient vite florissante et grossit de jour en jour tandis qu’une occasion en or se profile à l’horizon.

Les jeux olympiques de 1936 doivent se dérouler à Berlin. C’est le moment ou jamais de faire reconnaitre la marque à travers le monde. Rudolf Dassler se charge alors d’aller convaincre différents sportifs de porter les chaussures issues de son usine. Jesse Owens, quatre fois médaillé d’or durant ces jeux, accepte. C’est le premier coup publicitaire de cette ampleur dans le domaine sportif et il fera désormais école. Les retombés commerciales sont extraordinaire, et les frère Dassler ne cesseront d’appliquer cette méthode : faire promouvoir leurs produits par des sportifs de haut-niveau.

Bien que les affaires soient au beau fixe, les relations entre les deux frères ne cessent de se dégrader. La guerre, les querelles politiques, l’inimitié entre les deux belles sœurs, tous ces facteurs convergent et donnent naissance à une rupture définitive entre les deux frères, formant deux clans Dassler.

En 1948 les frères divisent le capital de l’entreprise, et tandis qu’Adolf reste dans l’ancienne usine Gebrüder Dassler, Rudolf en fonde une nouvelle dans la même ville. Des cendres de Dassler renaitront deux nouvelles marques. Puma créée par Rudolf en 1948, et Adidas créé par Adolf en 1949 (C’est en mars 1949 qu’Adidas, contraction du prénom et nom d’Adolphe Dassler, est déposée pour la première fois). Les deux entreprises entrent alors dans un jeu de concurrence dont elles ne sortiront plus jamais. Elles deviendront bientôt deux des plus grands équipementiers sportifs au monde.

Si Puma reste aujourd’hui encore quelque peu en retrait par rapport à Adidas, la marque jouit d’une image forte, et s’est durablement implantée dans le paysage du sportwear. Plus de trente ans après la mort des frères ennemis, Adidas et Puma sont toujours deux géants en concurrences, deux marques au coude à coude.

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Lush, des savons ou des potions magiques ?

Le 28 janvier prochain Lush, la marque anglaise des cosmétiques "frais et faits mains" fêtera les quatre ans de sa première boutique parisienne rue de Buci. L'occasion de revenir sur la création de cette marque de produits de beautés naturelles et d'en détailler les plus gourmands.

Créée en 1995 par Marc Constantine, un végétarien militant qui pendant plus de dix ans a fait le succès de The Body Shop, avant de vouloir monter sa propre enseigne de cosmétiques bio. Lush s'est d'abord démarquée en éliminant les emballages superflus ainsi que les ingrédients d'origine animale (en plus des tests sur ces derniers).

Une volonté qui a donné toute sa particularité aux boutiques Lush à l'intérieur desquelles les pains de savons aux recettes maisons et à base de kiwi, d'huile d'olive, de gingembre, de lavande, d'algues, de piments... délicieusement parfumés sont empilés au milieu des shampooings solides, des gelées de douche, des déodorants en pains pour une utilisation à l'ancienne, des beurres adoucissants pour le corps et autres barres de massage "Coeur Tendre ou Magie Noire" à malaxer pour la St Valentin, par exemple.

Des produits cosmétiques de qualité, à la composition systématiquement notifiée, dont certain sont déjà des "Best Seller" comme le baume capillaire réparateur H'Suan WenHua.  

A signaler que si l'ambiance des boutiques peut paraître s'adresser essentiellement aux femmes, Lush développe également des produits naturels destinés aux hommes comme la crème de rasage Ambroisie ainsi que des soins pour le corps et le visage.

Liste des points de vente et boutiques en ligne sur www.lush.fr

 

Sandra Millon

Les Sport d’Hiver avec O’Neill.

O’Neill produit depuis plus de 40 ans des vêtements techniques qui s’adressent aussi bien aux professionnels qu’aux particuliers.

Cette marque de « surf wear » fut créée à Santa Cruz, station balnéaire située au sud de San Francisco Californie, au début des années 50. A l’origine, Jack O’Neill ouvre un magasin de surf dans un garage de San Francisco, à proximité des plages alors fréquentées par les surfers. A force d’inventivité et de recherches, O’Neill développe le premier, des combinaisons de surf résistantes au froid.

Visionnaire, il élargira vite sa gamme de produits, pour ne plus seulement s’adresser aux surfers, mais également aux skieurs, aux plongeurs et à de nombreux autres sportifs.

O’Neill, comme toutes les marques de surf wear possède une identité forte, empreinte d’une philosophie particulière. Il ne s’agit pas seulement de faire des vêtements esthétiques, mais aussi résistants et pratiques, techniquement adaptés aux situations les plus extrêmes.

Petite chronologie des principales marques de surf wear :

O’Neill : Etats-Unis 1956

Rip Curl : Australie 1969

Quiksilver : Australie 1970

Billabong : Australie 1973

Oxbow : France 1981

Kanabeach : France 1987

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Kaporal 5, chef de file du « Street Wear » français

Ce n’est pas tous les jours qu’une toute jeune marque française rencontre un tel succès. Kaporal 5, marque de jeans marseillaise créée en 2004 par Laurent Ensellem, s’est pourtant déjà parfaitement installée dans le paysage street-wear français. Le monde fermé du jeans compte depuis peu un nouveau nom. Entre Levis et Diesel, Kaporal 5 ne dénote pas. Le secret d’une telle réussite réside sans doute dans l’esprit distillé par les créations de Kaporal 5 : Vintage et branché. Leurs produits s’adressent principalement à une clientèle jeune souhaitant se démarquer des logos habituels et sortir des sentiers battus. Kaporal 5 apporte la touche de fraîcheur qu’il manquait au denim français et propose en plus d’une large gamme de jeans, des tee-shirts, vestes, polos, pulls, ou encore chaussures associant un esprit vintage et branché.

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Histoire des soldes.

L'histoire des soldes tels que nous les connaissons aujourd'hui, est étroitement liée à la naissance des grands magasins. Petit rappel historique.

C'est au XIXe siècle que les premiers grands magasins voient le jour. Nés des anciens magasins de nouveautés, les grands magasins se multiplient dans la capitale française dès 1824, avec l'inauguration de "la Belle Jardinière". En 1852, c'est au tour du plus emblématique d'entre tous d'ouvrir ces portes : "Au Bon Marché" d'Aristide Boucicaut. Suivent "Le Printemps" en 1865, "les Galeries Lafayette" en 1895, et enfin "le Bazar de l'Hôtel de Ville" en 1904,  suivi de la "Samaritaine" cette même année.

Acheter devient alors une distraction à la mode en plus d'une nécessité, le prétexte d'une sortie dans un endroit confortable au décor souvent fastueux. Des petites boutiques, on passe aux grands espaces luxueux, lumineux et aérés des grands magasins. Ceux-ci s'étendent sur plusieurs étages, offrent de vastes vitrines ouvrant sur la rue, ainsi que de superbes verrières.

Mais la véritable révolution des grands magasins, en plus de leur surface, c'est l'entrée libre, le prix fixe et l'étiquetage systématique des articles, la multiplicité des produits réunis en un même endroit, l'échange et le retour facilités et enfin l'usage de la publicité, que l'on appelait à l'époque : la « réclame ». Ce nouveau système de vente entraine la multiplication des produits, et par conséquent, celle des invendus. Les grands magasins, suivant alors l'exemple de Simon Mannoury, créateur du magasin de nouveautés "le Petit Saint Thomas" chez qui Aristide Boucicaut fit ses classes,  se mettent à faire des soldes réguliers afin d'écouler leurs invendus.

Ce système de « rabais » généralisé aura de beaux  jours devant lui, puisqu'il perdure encore actuellement. C'est seulement en 1906 que l'on légiférera pour la première fois afin de réglementer soldes et rabais. Cette loi sera réactualisée en 1991 et la durée légale des soldes sera instaurée le 1er janvier 1997.

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Illustration ci-dessus : Affiche publicitaire du magasin de nouveautés "le Petit Saint-Thomas", fondé par Simon Mannoury en 1930, aujourd'hui considéré comme l'inspirateur des grands magasins. Aristide Boucicaut, le fondateur du Bon Marché, y entra comme vendeur en 1834. L'expérience qu'il en retira lui permettra d'atteindre le succès avec son propre magasin quelques années plus tard.

Crédit Photographique : Jules Chéret imprimeur.
Affiche publicitaire, vers 1880. (116 x 80 cm)
BNF, Estampes et Photographie (Chéret roul. 88)  

Des soldes d’exception sur Magprive.com

Magprivé à donné le coup d’envoi de ses soldes Mercredi 7 au matin. Avec des décotes immédiates incroyables : jusqu’à - 86 %[1] sur les plus grandes marques. Retrouvez Guess, D&G, Kaporal, Torrente, Calvin Klein, Gian Franco Ferré, Adidas, Fred Perry ou encore Diesel à des prix sacrifiés. Ces ventes exceptionnelles et beaucoup d’autres encore, se prolongeront jusqu’au 10 février, ou jusqu’à épuisement total des stocks. Alors ne tardez pas à nous rejoindre sur Magprivé.com.

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[1] -86% du prix public constaté en boutique.

Ted Lapidus, le dernier salut.

Le couturier Ted Lapidus s'est éteint lundi 29 décembre 2008 à l'hôpital de Cannes, à l'âge de 79 ans et à la suite d'une longue maladie.

Si sa marque, créée en 1951, a connu la gloire durant les années 60-70 (son entrée  en haute-couture date de 1963), son nom reste aujourd'hui encore une signature connue de tous. C'est parce que Lapidus est un précurseur qui saura, mieux encore que ses confrères, diversifier ses créations en lançant des licences et des franchises à son nom, en France et à l'étranger, afin de faire descendre la mode dans la rue et de la rendre accessible à tous et à toutes. Comme l'a très justement dit Nicolas Sarkozy dans un communiqué de presse émanant de l'Elysée : «Son œuvre, au total, témoigne de la vigueur du génie créatif français. » Génie créatif, voici deux termes qui définissent parfaitement le grand monsieur qui vient de nous quitter.

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L’équipe de Magprivé.com vous présente ses meilleurs vœux pour 2009.

Cette nouvelle année sera pour nous l’occasion de vous contenter plus encore, en vous proposant un nombre croissant de ventes privées, et en continuant de travailler à votre pleine satisfaction.

Notre postulat pour 2009 : toujours plus d’excellence dans la proximité de notre service client, dans la qualité de nos services livraisons, et enfin,  dans l’attractivité commerciale de nos offres. 

L’année qui débute sera, à n’en pas douter, riche en événements, et commencera dès demain par des soldes exceptionnels.

2009 est également l’occasion de fêter nos premiers 7 mois d’activités sur le net et de dresser un premier bilan. Depuis le mois de juin, vous êtes plus de 2 500 000 visiteurs à nous avoir rendu visite. Nous comptons aujourd’hui près de 200 000 inscrits et expédions chaque jour des dizaines de colis.

Ces débuts plus qu’encourageant nous invitent à vous dire merci. Car notre succès, c’est à vous que nous le devons. 

L’équipe de Magprivé.

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Ungaro, l’immortel artisan.

Fils d'un tailleur italien immigré à Aix en Provence, Emmanuel Ungaro voit le jour en 1933. Très vite intéressé par le travail de son père, il fait ses classes en apprenant les bases de la profession à ses côtés. En 1955 et afin de parachever son apprentissage, Ungaro va se faire engager à Paris dans l'atelier de l'illustre Balenciaga. C'est chez lui que ce jeune homme de 22 ans apprendra la rigueur et l'éternelle recherche de la perfection. Il trouvera aussi son style sous la férule de ce maître à la fois intraitable et protecteur : des assemblages et mélanges de couleurs vives et nuancées, de motifs imprimés, et une maîtrise, un art du drapé exceptionnel. En 1965 Ungaro créé sa propre marque et la baptise de son simple nom. Deux ans après  le succès lui permet d'installer ses ateliers et d'ouvrir une boutique avenue Montaigne. Ungaro tutoie alors les plus grands noms de la mode, mais n'en garde pas moins la tête froide et aime toujours se définir comme un « artisan » de la mode. En 1997 la marque Ungaro est rachetée par le groupe italien Ferragamo qui développera plus encore l'activité de la maison. Emmanuel Ungaro prend sa retraire en 2004 après avoir vu des boutiques à son nom ouvrir leurs portes sur pas moins de trois continents. Il a aujourd’hui 75 ans, et nous souhaitons longue vie à ce grand homme qui illumina la mode du soleil de sa provence natale.

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