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Little Marcel est déjà grand.

C'est une belle histoire que celle de cette petite marque française créée en 2005 au Grau du Roi, et qui connait aujourd’hui une fulgurante croissance. Little Marcel c’est tout d’abord le fruit de l’imagination et de l’inventivité de deux détaillants dans le textile. Linda Leseigneur et Eric Shieven ont l’idée de créer des débardeurs à rayures multicolores, pour proposer à leur clientèle un produit à la fois ludique et intemporelle, s'accordant au mieux avec le jeans. Les tous  premiers modèles sont fabriqués en noir et blanc et arborent fièrement sur la poitrine le nom de « Little Marcel » sérigraphié d'une écriture de maîtresse d'école. L’engouement est immédiat, et les plaisanciers s’arrachent le modèle. Les associés reconduisent l’expérience, colorent leur débardeur et le font fabriquer en série plus importante. Le succès sera de nouveau au rendez vous. 

Depuis, Little Marcel propose une gamme complète de vêtement homme, femme et enfant, pleine de vie et de couleur, et est distribuée dans plus de 400 boutiques en France. La marque commence même à s’internationaliser en exportant ses modèles en Espagne et en Italie. Gageons que Little Marcel jouera bientôt dans la cour des grands !

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Gianfranco Ferré, l’architecte de la mode

Gianfranco Ferré est l’un des plus grands noms de la mode italienne. Né à Milan en 1944, cet architecte de formation se lancera très jeune dans la confection de vêtements et créera ses premières collections au tout début des années 70 alors qu’il n’a pas trente ans. Le succès ne se fait pas attendre, pas plus que la reconnaissance de ses pairs. En 1989, c’est la consécration. Gianfranco Ferré est nommé  directeur artistique chez Christian Dior, à la suite de Marc Bohan.  Il occupera cette prestigieuse place jusqu’en 1996. Les collections qu’il présentera pour Dior durant ces sept années seront couronnées de succès. Collectionneur et amateur d’art, Gianfranco Ferré puisera son inspiration dans les œuvres des peintres qu’il chérit le plus. Au premier rang de ceux-là, Cézanne et Gauguin. Tout comme ces derniers, Ferré est un passionné de couleurs et se sert d’une palette chaude et généreuse pour proposer des vêtements chamarrés à fort tempérament, usant parfois de coupes asymétriques, de pièces androgynes, jouant avec les volumes comme seul un œil d’architecte pouvait le faire.  C’est à Milan, dans la ville qui l’a vu naître, que le grand couturier italien s’éteindra durant l’été 2007, à l’âge de 63 ans. Il laisse derrière lui une œuvre et un nom immortel, synonymes d’audace, de créativité et de haute qualité.

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Calvin Klein le précurseur américain.

Le monde du prêt-à-porter est jalonné d’initiales qui font rêver. A l’instar de quelques uns de ses pairs – YSL, D&G, CD –  Calvin Klein à su imposé les siennes comme un sigle internationalement reconnu. Originaire de New York, ce fils d’immigrés  juifs hongrois, fera ses classes à la Fashion Institute of Technologique. Après avoir travaillé pour quelques grands stylistes américains, le jeune Calvin se décide à créer sa propre marque en 1968. Quarante ans après, sa marque est devenue incontournable dans le monde de la mode. Son credo est simple et l’emmènera au sommet de la notoriété. Un style minimaliste et « passe-partout » pour des vêtements adaptés à la vie de chaque jour ainsi qu’une communication agressive et volontairement scandaleuse. Il réinvente le jean aux travers de ses créations et en fait un objet de mode à part entière. Il crée sa ligne de sous-vêtements masculins et fait défiler ses mannequins en slip pour présenter sa collection. Précurseur, il est le premier à mettre en scène de jeunes adolescents aux poses lascives dans ses campagnes publicitaires. C’est encore lui le premier à engager des artistes plutôt que des mannequins pour promouvoir ses créations. Brooke  Shields et Mark Wahlberg deviennent deux de ses égéries. Enfin, grand observateur, Calvin Klein sait capter comme nul autre l’air du temps. En 1995 il lance son premier parfum unisexe : CK One. Le succès est retentissant et sa fragrance devient l’une des plus vendue au monde. Ce coup d’essai sera un nouveau de maître. Calvin Klein se retire des affaires en 2006, et laisse à Francisco Costa, nouveau directeur artistique de CK, le soin de pérenniser son travail et sa griffe.

Pour fêter les 40 ans de la marque, Magprivé vous invite à une vente CK exceptionnelle.

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Deux expositions autour de la mode à ne pas manquer.

L’exposition « Sous l’empire des crinolines » offre un panorama complet de la mode française sous le second empire. Colorée, sophistiquée, d’un raffinement parfois excessif, celle-ci préfigurait déjà l’ère de la haute-couture. Véritable invitation au voyage, cet éventaire vous emmènera, à travers les dentelles et les étoffes, les robes de bals et les accessoires d’époques, à découvrir les modes vestimentaires du 19^e siècle. Une occasion unique pour toutes ces dames de se rêver en Sissi impératrice. Dans un registre plus contemporain, vous pouvez découvrir l’exposition « Sonia Rykiel  Exhibition ». Elle se tient aux Arts Décoratifs, à l’occasion du 40^e anniversaire de la maison de couture. Vous y  verrez de nombreuses photographies de mode, des vidéos de défilés, et surtout quelques 200 mannequins revêtus des vêtements Sonia Rykiel. Couvrant quarante années de créations (de 1968 à nos jours) cette rétrospective vous permettra de mieux comprendre les évolutions et révolutions du prêt-à-porter ainsi que le génie protéiforme de Sonia Rykiel.

« Sous l’Empire des crinolines, 1852-1870 » Du 29 novembre 2008 au 26 avril 2009
Musée Galliera
10, avenue Pierre 1er de Serbie – 75116 Paris
Tél.: +33 01 56 52 86 00
Métro : Iéna ou Alma Marceau
Ouverts tous les jours sauf le lundi (de 14h à 18h les jours fériés)
Prix d’entrée :
Plein tarif : 7€ / tarif réduit : 5,50€
Tarif jeune (14-26 ans) : 3,50€
Gratuit : moins de 14 ans

« Sonia Rykiel Exhibition »
Du 20 novembre 2008 au 19 avril 2009
Musées des Arts Décoratifs
107, rue de Rivoli – 75001 Paris
Tél. : +33 01 44 55 57 50
Métro : Palais-Royal, Pyramides, Tuileries
Ouverts du mardi au vendredi de 11 h à 18 h
Samedi et dimanche de 10 h à 18 h
Nocturne le jeudi jusqu’à 21 h
Prix d’entrée :
Collections permanentes et expositions temporaires
Plein tarif : 8 €
Tarif réduit : 6,50 €

Seiko : L'horlogerie au pays du soleil levant.

Si vous pensez que les plus belles marques de montres sont toutes originaires des manufactures horlogères suisses, il est temps de réviser votre opinion. 

Tout le monde connait Seiko. Mais combien savent que ce fabriquant de montre japonais existe depuis 127 ans. Si Seiko fabrique aujourd'hui plus de montres que toute l'horlogerie suisse réunie, ce n'est pas en sacrifiant à la qualité de sa production. L'excellence des maitres-horlogers japonais n'est plus à démontrer depuis fort longtemps. Ainsi, a-t-on pu voir dès 1968, la firme japonaise remporter face aux fleurons des manufactures suisses, le concours chronométrique de l'observatoire de Neuchâtel. Seiko a trouvé le parfait équilibre entre tradition et avant-garde. Toute en préservant un savoir-faire digne des plus grandes manufactures, Seiko n'a jamais cessé d'innover. Pour s'en convaincre quelques dates suffisent :

1913 : Seiko produit sa première montre-bracelet.

1955 : Seiko commercialise sa première montre automatique.

1969 : Seiko est à l'origine d'une véritable révolution dans le monde de l'horlogerie en créant la première montre à quartz de l'histoire.

1973 : Seiko invente la technologie des montres à cristaux liquides, aussi appelé LCD, à affichage numérique.

1986 : Seiko présente à la foire internationale de l'horlogerie de Bâle, le premier prototype de montre Kinetic. Cette technologie, une nouvelle fois révolutionnaire, ne nécessite ni pile, ni remontage manuel. Elle utilise les mouvements du poignet pour produire sa propre électricité. Le succès sera phénoménal et la firme nippone écoulera plus de 8 millions de montres équipées de cette fabuleuse technologie, en l'espace de vingt ans.

Voici donc pour le côté avant-gardiste de la marque. Qu'en est-il de l'aspect traditionnel ?

Tout d'abord, le groupe japonais peut se vanter d'être le seul au monde à produire la totalité des composants de ses montres mécaniques. Hormis quelques bracelets en cuirs, toutes les pièces  - verres saphir, spiraux, piles électriques ou encore rubis - sortent des ateliers japonais. Plus encore que tout ses concurrents, Seiko mérite le nom de manufacture.  

Enfin, Seiko ne se contente pas de produire un très grand nombre de montres d'un rapport qualité prix exceptionnel. La manufacture possède également deux marques de haute-horlogerie, Grand Seiko et Credor, destinées aux collectionneurs les plus exigent. Fabriquées à quelques centaines d'exemplaires seulement, ces montres à complications sont la preuve d’un savoir faire unique, et s'en viennent chasser sur les terres de Rolex ou de Patek Philippe.

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Dolce & Gabbana

Aujourd'hui s’ouvre la vente privée D&G sur www.magprive.com . C’est l’occasion pour nous de revenir sur la fulgurante ascension du couple de stylistes le plus tendance du moment.

En seulement vingt trois ans d’existence, les noms de Dolce & Gabbana ce sont hissés au panthéon de la mode, pour enfin tutoyer leurs modèles de toujours, Jean Paul Gaultier, Giorgio Armani ou encore Coco Chanel. A force de talent, de rigueur, de créativité et d’audace, Domenico Dolce et Stefano Gabbana ont réussi à imposer leurs patronymes jusqu’à en faire une marque aujourd’hui incontournable. Ils ont d’ores et déjà laissé leur empreinte indélébile au monde du prêt-à-porter de luxe. On ne compte plus les stars, de Madonna à Monica Bellucci, qui portent leur griffe.
Leur histoire commence en 1985, dans la ville de Legnano située à quelques kilomètres au nord-ouest de Milan. C’est ici que les deux jeunes créateurs italiens, alors âgés de 27 et 23 ans, fondent leur marque en associant leurs noms. Leur premier défilé aura lieu l’année suivante. La suite n’est qu’une implacable marche en avant. En 1990 ils ouvrent leur première boutique à Milan. Quelques années plus tard c’est à Paris, sur l’avenue Montaigne, vitrine incontournable de la mode mondiale, qu’ils inaugurent leur nouvelle boutique. Le succès est immédiat. En 1996 et 1997, Dolce & Gabbana sont consécutivement sacrés « Designer de l’année » par l’institution des magazines de mode britannique, FHM. En 2005 une nouvelle boutique Dolce & Gabbana entièrement consacrée au prêt-à-porter masculin, ouvre ses portes à Paris. Le succès est une nouvelle fois au rendez-vous. Cette même année, le couple se sépare à la ville mais décide de poursuivre leur fructueuse collaboration professionnelle.

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Le polo : des origines sportives au renom universel

Le polo s'est imposé au fil des ans comme un accessoire essentiel à toute garde robe, aussi bien masculine que féminine. Créé à la toute fin des années 1920 par le joueur de tennis français René Lacoste, cette chemisette de coton a fini par séduire le monde entier. Son aspect informel mais passe partout, son côté dynamique et élégant en ont fait, comme le dit très justement Ralph Lauren, « l'habit de tout le monde ».Aujourd'hui, des hommes politiques jusqu'aux classes populaires, en passant par les stars de cinéma, sans aucune distinction d'âge, tout le monde porte des polos. Depuis quelques années, la plupart des grandes marques vestimentaires ont développé leur ligne de polo : Calvin Klein, Tommy Hilfiger, Gant ou encore Abercrombie. Mais question notoriété, les trois premières marches du podium sont depuis plus de trente ans occupées par un incontournable tiercé : le français Lacoste, l'américain Ralph Lauren et l'anglais Fred Perry. Si Ralph Lauren a attendu les années 70 pour lancer son propre modèle de polo, Fred Perry s'y consacra bien avant. A l'instar de son aîné René Lacoste, qui le devança de trente années. Fred Perry, lui aussi tennisman vedette, réussit sa reconversion dans le monde du sportwear. Il créa sa marque de vêtement à la fin des années 40 et imposa rapidement son logo, une couronne de lauriers, comme une référence, un gage de qualité. En plus de cinquante ans d'existence, Fred Perry s'est transformée en l’une de ces marques magiques, qui tout comme Lacoste, dépassant les générations et les modes, est devenue intemporelle.

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