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Alberta Ferretti, succès story à l’Italienne

Née en 1950 sur la côte adriatique italienne, Alberta Ferretti est une créatrice de mode atypique. Elle grandit dans l’atelier de couture de sa mère, et assiste celle-ci dans ses travaux de confection. C’est là qu’elle apprend le métier, qu’elle se passionne pour la mode. En 1968, elle fête ses 18 ans et l’ouverture de sa première boutique dans sa ville natale, Cattolica. Elle y vend déjà ses propres créations. Six ans plus tard,  encouragée par cette première étape, Alberta Ferretti fonde sa propre marque avec son frère, Massimo Ferretti. Elle séduit le  nord de l’Italie, et en 1981, elle inaugure son showroom de Milan et participe à ses premiers défilés. Elle y présente des pièces légères, aériennes, en soie et satin, qui entrent en résonance avec l’univers glamour du cinéma italien. C’est une première consécration, mais Alberta ne compte pas s’arrêter là.

Alberta à vite l’idée d’élargir sa clientèle en créant une seconde ligne, Philosophy di Alberta Ferretti. Plus accessible, cette gamme de vêtements permettra à la couturière de gagner en notoriété et de séduire une clientèle plus jeune, plus bohème.

En 1994, elle installe le siège de sa société dans le village médiéval de Montegridolfo et participe à la restauration du site.

En 1996, la belle italienne séduit les Etats-Unis qui lui ouvre grand ses portes. Elle inaugure un showroom dans la 56e rue de New York et deux ans plus tard elle ouvre sa boutique Philosophy di Alberta Ferretti à Soho. Le succès est total.

Dix ans plus tard, Alberta Ferretti tient toujours le haut du pavé et a su conserver son indépendance tout en fortifiant sa position dans le milieu de la mode. Elle possède aujourd’hui différentes marques, ce qui lui permet d’être présente sur tous les secteurs, depuis le maillot de bain jusqu’à la chaussure, en passant par la maroquinerie. Elle possède 14 boutiques à travers le monde, en Russie, au Japon ainsi qu'en Arabie Saoudite. La réussite est au rendez-vous, et pour autant, Alberta Ferretti semble être la même femme qu’à ses débuts. Les pieds sur terre de l’artisan et la tête pleine d’étoiles de l’artiste. Au fil des années, elle propose une mode toujours aussi subtile et féminine où broderies, mousselines et dentelles dessinent des silhouettes glamours et évanescentes, avec un talent jamais démenti.

Copyright Photo: Sandra Millon   

Chemises Morabito sur Magprivé.com

Pascal Morabito est une sorte d’exception dans le monde de la mode. Morabito est avant tout un créateur, un « touche à tout » de génie qui œuvre dans tous les domaines du luxe : bijouterie, joaillerie, orfèvrerie, porcelaine, cristallerie, horlogerie, parfums, cosmétique, maroquinerie, instruments d’écriture, mode, accessoires de mode, design, sculpture, architecture, packaging, trophées cinéma, télévision, musique, domotique, décoration, ameublement, hôtellerie, automobile, photographie, littérature, gastronomie, bien être, art de vivre...

Né en 1945 à Nice dans une famille d’orfèvres, on ne compte plus les collaborations prestigieuses qui jalonnent le parcours de Pascal Morabito.

Après avoir terminé ses études d’architecture, il ouvre en 1968 un atelier de conceptions joaillières, ou, selon ses propres termes, un « centre de création et d'étude du bijou contemporain ou micro-architecture ».

Sa spécificité et la qualité de son travail lui permettent de se faire rapidement une clientèle internationale, attirée par ses réalisations uniques de haute joaillerie. Il collabore également avec nombres d’artistes éminents, tels que Arman, Dali, ou encore César avec lequel il réalisera les compressions d'or et d'orfèvrerie qui deviendront les fameux César du cinéma.

Mais Pascal Morabito ne se contente pas d’un seul projet, et se consacre également au prêt-à-porter. Il propose entre autre une ligne de lingerie précieuse, ainsi que des chemises et cravates pour les hommes.

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Hervé Léger par Max Azria, la renaissance d’une maison de couture française.

 En 1985, Hervé Léger fonde sa maison de couture. Celle-ci atteint rapidement une belle notoriété grâce aux fameuses « robes à bandes » entièrement cousues main qui sont la spécialité d’Hervé Léger.

En 1998, Hervé Léger est racheté par le géant américain du prêt-à-porter, BCBG Max Azria.  Fait historique, c'est la première fois qu'un groupe américain acquiert une maison de couture française. Max Azria cherche à rajeunir la marque sans rien renier de son précieux héritage. Tout au contraire, il remet au goût du jour le style Hervé Léger, en y apportant un souffle de technicité et de modernité supplémentaires.

Une nouvelle boutique rue Cambon voit le jour, aussitôt suivie d’autres à New York, Beverly Hills et Las Vegas. Les célébrités du monde entier s’entichent des créations Hervé Léger par Max Azria. Victoria Beckham devient l’une des égéries de la marque, tandis que Catherine Zeta-Jones et Kiera Knightley s’affichent de plus en plus souvent en public vêtues de créations Hervé Léger.

Hervé Léger défile à NY sous le nom « Hervé Léger by Max Azria » depuis l'hiver 2008, avec un succès constant et une presse enthousiaste. On retrouve des créations dans l’esprit de celles qui firent le succès de la marque dans les années 80. Robes à bandes cousues mains aux couleurs vives et tendres.

Max Azria a réussi un tour de force. Relancer une maison de couture française, avec le brio habituel qui le caractérise tout en préservant le style  inimitable d'Hervé Léger.

Boutique Hervé Léger, 24, rue Cambon, Paris

Copyright Photo: Sandra Millon

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Coco avant Chanel, le film

Anne Fontaine réalise un film ambitieux qui cherche à définir la personnalité de Gabrielle Chanel, ses ambitions et son credo, avant que celle-ci ne devienne célèbre et mondialement célébrée. Le film, comme son titre l’indique, ne s’intéresse qu’à la genèse de la créatrice, ses premières années, avant même qu’elle se saisisse de la mode.

Si Audrey Tautou incarne Chanel avec talent, elle ne parvient peut être pas à totalement donner corps à cet étonnant personnage. Benoît Poelvoorde est quant à lui saisissant, dans son interprétation d’Etienne Balsan, jeune homme riche qui introduira plus ou moins malgré lui, Chanel dans la haute société. Le portrait de Chanel n’est pas forcement flatteur, puisque Anne Fontaine décrit la jeune Coco comme une femme froide et arriviste, qui s’intéresse plus à l’argent qu’aux sentiments. En cela on peut regretter une vision quelque peu réductrice. Néanmoins l’intérêt de ce film réside dans le rendu des textures et dans les visions des costumes d’époques. Il démontre parfaitement le décalage qui se trouve être entre ceux là, et la vision de la jeune Chanel. Décalage et renouveau qui naîtra principalement du désir impérieux de Coco Chanel : porter des vêtements dans lesquels il est facile de se mouvoir. L’histoire d’une femme qui a taillée sa liberté dans du Jersey et a redessiner la silhouette d’une époque.

Filmer "l’appoggiature" de la carrière Chanel était un pari délicat. Anne Fontaine arrive pourtant à faire des années précédant la gloire de Chanel, une histoire prenante. Le film, sans pour autant être transcendant, n’ennuie jamais et donne un éclairage nouveau et intéressant sur la grande demoiselle de la mode française.

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Cacharel, un demi-siècle de floraison

Jean Bousquet fonde Cacharel à Nîmes, en 1962. Jeune homme visionnaire et ambitieux, Bousquet, ne tarde pas à faire de sa marque une référence internationalement connue. Pour cela il concentre ses efforts sur deux fronts. Une communication innovante (il travaillera avec Sarah Moon à créer l’identité visuelle de Cacharel), et des produits phares. Il emploie l’imprimé Liberty (une multitude de petites fleurs aux couleurs chamarrées) avec une audace et un succès inattendus mais toujours pas démentis, il remet au goût du jour la chemise pour femme et l’usage du crépon.

En ce moment la marque s’expose chez Franck et Fils, le grand magasin parisien du 16e arrondissement, où l’on peut trouver des séries limitées de chemises hommes et femmes aux motifs Liberty plus frais et plus fous que jamais. Une renaissance pour les beaux jours.

Franck et Fils, 80, rue de Passy, 75016 Paris.

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Emilio Pucci, le marquis des formes et couleurs

Emilio Pucci, un créateur, une marque à la signature reconnaissable entre toutes. Celui que l’on nommait le Prince des Imprimés, était issu de la noblesse Italienne. Né à Florence en 1914, Emilio Pucci fera sa propre révolution dans le monde de la mode. Il y apporte la prédominance de la couleur, l’exubérance des motifs.  Il est à l’origine d’un style fait d’imprimés géométriques et ondoyants, de tissus semblables à des palettes d’artistes. Tout commence en 1947, lorsque Harper’s Bazaar publie une photo d’une amie d’Emilio Pucci, pour laquelle ce dernier avait réalisé, sans autre ambition que de faire plaisir, une tenue de ski. A la suite de cette parution, de grands magasins de mode américains, réclament  des créations Pucci. C’est ainsi que le destin fit d’Emilio Pucci un créateur de mode.

Face à cet engouement inattendu, il créé sa société de prêt-à-porter la même année, et se consacre pleinement à la conception de modèles féminins, frais et glamours. Il combine les motifs et les couleurs avec une prescience digne d’un artiste peintre. Il signe d’ailleurs chacune de ses créations.

En 1992, Emilio Pucci s’éteint. Sa fille Laudomia prend sa suite et participe pour la première fois à la Semaine de la Mode de Milan en 1998. Elle gèrera également les deux boutiques historiques de New York et Florence jusqu'en 2000, année où LVMH entre majoritairement dans le capital d’Emilio Pucci.

Le groupe de luxe choisit alors le jeune créateur anglais Matthew Williamson pour succéder à Christian Lacroix dans le rôle de directeur artistique. En 2008, c’est au tour de Peter Dundas d’endosser cette responsabilité. Ce jeune créateur parmi les plus en vue de sa génération, possède toutes les qualités pour nourrir la marque des couleurs et innovations qu’elle à toujours réclamé et offerte. Grâce à LVMH, Emilio Pucci entame sa marche dans le XXIe siècle avec une confiance absolue, et transporte son style pop et coloré à travers le monde.

Boutique Emilio Pucci, 36, avenue Montaigne, Paris 75008.

Copyright Photo: Sandra Millon

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Chloé, l’élégance conjuguée au présent

Elles ne sont pas si nombreuses les marques à pouvoir se flatter d’avoir habillé des légendes telles que Grace Kelly, La Callas, Jackie Kennedy ou Brigitte Bardot. Chloé fait partie, au même titre que Dior ou Chanel, de ces rares marques au passé prestigieux et à l’avenir radieux. Créé à Paris en 1952 par Gaby Aghion, Chloé est depuis toujours synonyme de féminité et d’élégance décontracté. En opposition avec le style rigide de la mode des années 50, Gaby Aghion façonne des vêtements souples, faciles à porter tous les jours, faits d’étoffes fines et précieuses. Elle est la première à faire immédiatement confectionner ses créations afin de les vendre telles quelles en boutiques.

La première collection de Chloé est présentée en 1956, au Café de Flore, l'un des endroits favoris de Gaby Aghion et le rendez-vous des existentialistes et artistes Parisiens d’alors.

Gaby Aghion transpose dans ses vêtements les préoccupations et les changements d’une époque et séduit une large clientèle, parmi lesquels bon nombre de femmes souhaitant s’émanciper. En 1966, Karl Lagerfeld est nommé couturier en chef de la maison Chloé. C’est sous son impulsion que la marque connaitra un essor sans précédent, au point de devenir l’une des marques emblématiques des années 70. Si le style de la marque est résolument moderne, son chic est quant à lui, tout bonnement intemporel. En 1983, Lagerfeld quitte Chloé pour Chanel. Deux ans plus tard, la marque est rachetée par le groupe de luxe Richemont et se développe à l’international. En 1997, Chloé trouve un second souffle en la personne de Stella McCartney. Elle réinvente Chloé et insuffle beaucoup de sa jeunesse à la marque, pas mal de glamour et une pointe de romantisme. Les années Stella McCartney furent résolument rock’n’roll. A l’arrivée de Phoebe Philo en 2001, Chloé renoue avec son passé prestigieux et puise une autre inspiration dans son précieux héritage et savoir faire. Le 10 mars 2008, Hannah Macgibbon devient la nouvelle directrice de la création de Chloé. Une nouvelle ère se profile, et une nouvelle génération de stars telles Kristen Dunst ou Natalie Portman devient fidèle de la marque. Après cinquante sept ans d’une existence bien remplie, Chloé est toujours sur le devant de la scène, une marque de référence qui vend du rêve bien plus encore que des vêtements.

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Copyrigt Photo: Sandra Millon

Marc Jacobs, l’enfant prodige de la mode

Marc Jacobs voit le jour en 1963, dans une famille bourgeoise New Yorkaise. Il est élevé dans l’Upper West Side par sa grand-mère, qui lui communique sa passion pour la mode. En 1984, à tout juste vingt et un ans, Marc Jacobs présente sa collection de fin d’étude à la Parsons School of Design. L’homme d’affaire Robert Duffy est séduit par l’audace et la fraicheur des créations de Jacobs, des pulls en maille aux couleurs vifs faits mains. A la suite de cette rencontre, les deux hommes s’associent et fonde la marque Marc Jacobs International la même année, avec pour seule philosophie, l’exigence de qualité et l’amour de la mode. S’ils manquent de moyen, les deux hommes ne manquent pas d’idées, et se font vite repérer dans le petit univers des créateurs de mode New Yorkais. En 1986 ils présentent leur première collection et Marc Jacobs est invité par Andy Warhol dans son émission télévisé, Andy Warhol’s fifteen Minutes. L’occasion de découvrir un tout jeune créateur parfaitement à l’aise dans ce talk show d’avant-garde. De 1989 à 1992, Marc Jacobs est nommé styliste de Perry Ellis. L’expérience est loin d’être dépourvu d’intérêt, puisque les relations difficiles qu’il entretient avec la direction de Perry Ellis, et les collections osées qu’il crée pour la marque font sensations dans les journaux spécialisés. En 1997, LVMH à la brillante idée de confier la direction artistique de Vuitton à Marc Jacobs. Le succès est fracassant. Jacobs injecte ce qu’il faut de fraicheur et de nouveauté à la marque, tout en mettant en valeur son patrimoine, son savoir-faire et ses traditions exceptionnelles. Il entame pour le compte de Vuitton des collaborations avec des artistes tels que Takashi Murakami et Stephen Sprouse. Il réoriente la marque vers le prêt-à-porter, et tout cela avec un succès constant.

Il n’en délaisse pas pour autant sa propre marque éponyme, à laquelle il travaille toujours en collaboration avec Duffy. Après n’avoir conçu que des collections pour femmes, sa maison de mode s’adresse aujourd’hui également aux hommes, et propose plusieurs lignes de prêt-à-porter, ainsi que de la maroquinerie, des chaussures et des accessoires de mode.

Créateur cosmopolite dans l’âme, citadin aux faits de toutes les tendances et avant-gardes, la pertinence des choix de Marc Jacobs fait rêver. L’homme semble pressentir mieux que quiconque les désirs de mode. Il capte l’air du temps, et peut en prédire les changements plus précisément qu’un météorologue. Son association avec le groupe LVMH, qui possède une majorité de part dans sa propre marque, est des plus fructueuses, en cela qu’elle permet au créateur un plein épanouissement artistique en même temps qu’elle lui garantie un soutien financier constant. Une tranquillité financière.

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Copyrigt Photo: Sandra Millon

Marlboro Classics, l’authentique.

Plus besoin de présenter Marlboro Classics. Chacun connait la marque au logo silhouette de cowboy. Cette réputation est en partie due à la robustesse et au standard de qualité établi par la marque. Marlboro Classics produit des vêtements masculins et féminins, qui donnent une certaine idée de l’ouest américain, sa liberté, ses grands espaces. La marque est porteuse de valeurs et entend bien respecter les traditions. Les tissus sont de qualité, les cuirs sont résistant, les finitions parfaites, et c’est cette exigence qui à fait de Marlboro Classics une marque phare du prêt-à porter en seulement vingt ans d’existence.

Vendu dans 40 pays, et possédant plus de 200 boutiques à travers le monde, Marlboro Classics annonçait fin 2008, un chiffre d’affaire avoisinant les 170 millions d’euros. Une réussite exemplaire qui prouve bien, à notre époque de grande consommation, que la qualité paye encore.

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Jean Charles de Castelbajac, créateur de génie.

Jean-Charles de Castelbajac est l’un des créateurs français les plus inventifs et les plus doués de sa génération. Né en 1949, Castelbajac se passionne très tôt pour l’art et plus encore, la création de mode. Il crée sa première collection pour Ko and Co, une marque créée par sa mère, en 1969.
C’est cette même année qu’aura lieu son premier défilé de mode. Il se singularise déjà par les détournements d’objet et de matière qu’il utilise, tissus camouflages, matières plastiques ou encore éponge.
Avant-gardiste dans l’âme, Castelbajac rejoint le groupe « Créateurs et Industriels » en 1973, et y fait la connaissance d’Andrée Putman.
Au fur et à mesure des années, Jean-Charles de Castelbajac cultive son éclectisme et collabore avec de nombreuses marques, couturiers et  artistes, parmi lesquels Kenzo, Robert Mapplethorpe et Max Mara.
En 1979, Castelbajac fonde sa prorpe marque éponyme, ce qui ne l’empêche pas de poursuivre ses aventures avec d’autres marques, tel que K-Way, et de créer ici et là des costumes pour le cinéma, la télévision ou le théâtre.
Dans les années 1990, Jean-Charles de Castelbajac ajoute une corde à son arc en se mettant au design, et en collaborant à la production de mobilier.
L’homme est en perpétuel mouvement, sans cesse en train de créer et d’innover. Chronologie sélective de cette formidable effervescence.
1999 : il ouvre une boutique conceptuelle à Paris qui accueille les premières collections de jeunes créateurs.
2000 : Castelbajac présente sa première et unique collection haute couture. En 2001 il lance son parfum.
2003 : il crée des costumes pour les héroïnes de la série télé américaine, Sex in the City. 2004 : il ouvre un nouveau concept store à Paris
2006 : une exposition lui est dédiée au Victoria &Albert Muséum de Londres :The fashion style of JC de Castelbajac.
2007 : c’est au tour du Musée de la Mode de la ville de Paris de lui rendre hommage. L’occasion de fêter ses 40 ans de créations.
2008 : ouverture de la première boutique Castelbajac à Londres.
2009 : Jean-Claude de Castelbajac multiplie les projets. Il écrit des chansons pour l’album de Mareva Galanter. Collabore avec Google afin de créer des fonds d’écran. Crée des costumes de scène pour Rufus Wainwright et Kayne West. Enfin, il expose ses œuvres picturales à la  galerie Paradise Row de Londres.
Castelbajac est donc un artiste pluriel, un créateur qui regorge d’idée et avec qui chacun souhaite collaborer. Personnage atypique, qui ne semble connaitre qu’une philosophie, celle de la créativité absolue.

Retrouver l’univers vestimentaire de Jean-Charles de Castelbajac sur Magprive.com en cliquant ici.